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ventes de corps de fermes de luxe Gard, France

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Exclusivité
19

Maison Uzès (30)

Belle demeure de village sur voûtes Au sein d’un village très prisé, à deux pas d’Uzès, cette belle maison de village d'une surface utile d'environ 140 m² très ancienne a de nombreux atouts. Sur une parcelle de 145 m2, la bâtisse en pierres voit son rez-de-chaussée presque entièrement doté de magnifiques voûtes qui n’empêchent pas ce niveau d’être généreusement baigné de lumière. Ses baies s’ouvrent sur un très charmant petit jardin arboré et abrité disposant d’un bassin de détente en angle. Du premier étage, on dispose partout d’une vue magnifique sur le village et la campagne alentour. Cet étage bénéficie aussi d'une terrasse couverte. Carrelages, poutres et hauts plafonds d’époque font aussi le charme des pièces de la maison qui permettront à une famille de s’installer confortablement et en toute quiétude. À voir rapidement ! Prix de vente 531.000 € honoraires charge acquéreur inclus 4.5% TTC Prix hors honoraires 510.000€ Votre conseillère Corine george au 06.14.86.24.46 EI immatriculé 351 342 191au RSAC de Nîmes. Au plaisir d'échanger. réf. : 2599

531 000 €
130
5pièces
4chambres
terrain  145
Corps de ferme 2
24

Corps de ferme Ales (30)

Entre Cévennes et garrigue gardoise, sur son promontoire, un mas à l'architecture toscane et son domaine de 51 ha. Au débouché d'un chemin goudronné, la face méridionale du mas apparaît sur un promontoire – probablement un ancien oppidum romain – laissant paraître une tour sur angle, tandis que la seconde, symétrique, se dessine timidement derrière un massif arboré. Ancien édifice agricole, avec l’aile nord comme première bâtisse, il fut transformé par une restauration, achevée en 1714, dans le style florentin qu'il présente encore actuellement. Il se fera plus tard refuge pour les camisards, prison de soldats italiens, lieu de résistance et d'affrontements, ce dont témoignent impacts de balles et inscriptions murales. Il veille aujourd’hui sur la campagne environnante et sur son domaine de 51 ha d’un seul tenant, composé d’oliveraies, de prés et de garrigue. L’ensemble des bâtiments entoure une cour fermée dont l’entrée principale au sud est percée d’un corps de passage à cheval avec porte cochère. Les élévations extérieures sont couvertes d’anciens enduits à la chaux, sous lesquels transparaît un appareil de petits calcaires roulés. La façade sud, flanquée de deux tours d'angle, est percée au rez-de-chaussée de baies alignées de part et d’autre de la porte à arc en anse de panier, qui donne au sud sur une piscine et son pool house. Plus régulières et symétriques, hautes et étroites, à l’étage, les ouvertures sont au nombre de quatre sous l’avant-toit, avec fenestrons en œil-de-bœuf. Les élévations antérieures et latérales des tours sont percées de baies aux dimensions identiques, une par niveau. Les contrevents des différentes baies comme la porte cochère sont peints en rouge, sur les façades de l'aile sud et des autres. Les ailes ouest et nord sont aujourd’hui cachées par deux hangars agricoles avec structure métallique, qui témoignent de l’activité récente du domaine. La face orientale s’ouvre quant à elle sur ses terres avec une vue sans fin sur les Alpes. Les différents corps de bâtiments sont couverts de toitures à deux ou quatre pans, avec tuiles canal et génoises à deux rangs. Ils abritent deux appartements, un oratoire et des dépendances à usages antérieurement agricole, séricicole et commercial.

1 550 000 €
900
12pièces
7chambres
terrain  51,5ha

Par Patrice Besse

Corps de ferme 3
25

Corps de ferme Uzès (30)

Au cœur de la garrigue gardoise, un mas du 17e s , précieux témoignage de la vie pastorale séculaire. Issus d’une succession de constructions débutées au 17e s., les différents corps de bâtiments, aux murs épais de pierres calcaires, entourent une cour, espace de protection et de connexion des diverses fonctions du mas. Édifice agricole appelé « grange » au 18e s., il était alors composé d'un seul corps de bâtiment au nord et d’une élévation perpendiculaire à l’est, dont ne subsistent aujourd’hui que quatre piliers massifs en pierre dispersés dans la cour. Le développement des deux autres ailes aujourd'hui encore en place a dû attendre le 19e s., appelé par la culture du mûrier – dont de beaux spécimens subsistent dans le parc. L’élevage du ver à soie était alors à son apogée, jusqu’à ce qu'une épidémie foudroyante, la pébrine, ravage la plupart des exploitations gardoises. L’architecture de l'aile orientale présente toutes les spécificités d'une magnanerie : un bâtiment long, étroit et haut, élevé sur deux étages, percé de petites baies régulières et surmonté d'une toiture à deux pans, avec une cheminée pour l'aération et le chauffage nécessaires à la croissance des « magnans ». La seconde aile, côté couchant, a été édifiée pour le personnel qui devait vivre sur place. Les baies, de taille plus importante, bénéficient d’un généreux ensoleillement par l’ouest. Des fenêtres tournées vers le couchant, la vue porte au loin sur la garrigue environnante comme sur le troupeau de brebis du village voisin qui vient régulièrement paître à proximité. Au nord, enfin, la bâtisse est restée dans son état d'origine avec, au niveau inférieur, de solides voûtes d’arêtes qui abritaient les bêtes sous le fenil, au niveau supérieur. Les façades qui donnent sur cour sont entièrement recouvertes d’enduits à la chaux et celles visibles de l’extérieur – sauf celle de l'aile est – laissent apparent un appareil de petits calcaires de surface. Les toitures, à deux pans, sont recouvertes de tuiles canal.

950 000 €
550
8pièces
5chambres
terrain  5 049

Par Patrice Besse

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  • Gard, France
  • Corps de ferme